GOUVERNANCE



L’ENTREPRISE POUR L’HUMAIN

ET NON PLUS : L’HUMAIN POUR L’ENTREPRISE

Le monde des affaires est en profonde mutation : planète, environnement, développement durable, société, l’humain, l’être.

Être en affaires dans une entreprise (entrepreneur) ou au sein d’un organisme (intrapreneur) n’est plus strictement une question de développement organisationnel et commercial.

Être et rester en affaires, c’est tenir compte des profondes mutations externes qui influencent – dictent – les responsabilités du Inc. C’est la génétique, l’ADN de l’entreprise, si petite soit-elle, qui a pris corps : l’incorporation.

Le Inc. doit aujourd’hui tenir compte de plusieurs facteurs inhérents non seulement à sa raison d’être, mais également à son droit d’être et de continuer à exister.

Ces impacts sont souvent imprévus dans la réalité des opérations quotidiennes d’une entreprise et la gestion de ses affaires dites normales. Ils sont souvent invisibles, mais ils minent progressivement les forces vives d’une entreprise, créent de la dissonance au sein de l’organisation et « brumatisent » (état confus qui empêche de voir, de penser clairement) inconsciemment les décisions de ses gestionnaires.

L’approche actualisée du développement des affaires permet de prévoir l’imprévu. Sans une telle approche, dans la réalité et sans préparation, l’imprévu finit toujours par arriver…



D’où la nécessité de créer une charte de bonne gouvernance qui tient compte de :

  • L’environnement - le développement durable; l’économie circulaire +
  • L’intelligence artificielle
  • Les enjeux sociétaux
  • Les nouvelles générations… aux 5 ans
  • Le bouleversement des valeurs
  • La croissance qualitative et responsable vs la croissance quantitative
  • La réinitialisation (reset) des milieux de vie
  • La réinitialisation (reset) des entreprises et organismes
  • La réinitialisation (reset) des clients

En tenant compte, en filigrane, de :

La RSE-RSO

La démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises ou organismes se traduit par un engagement des acteurs économiques en faveur d’un développement durable. La RSE repose sur trois piliers fondamentaux qui sont :

  • La responsabilité économique : à travers la qualité de service, le soutien des producteurs et fournisseurs locaux, la transparence et le paiement des factures dans les délais légaux.
  • La responsabilité sociale : en prônant la diversité et l’égalité des chances, en garantissant hygiène et sécurité aux employés, en faisant respecter le droit des travailleurs et en collaborant de manière équitable avec les producteurs mondiaux.
  • La responsabilité environnementale : en réduisant l’impact carbone de ses activités, en utilisant les ressources de manière responsable, en réduisant les déchets d’entreprise et en sensibilisant les salariés aux enjeux environnementaux.

Le développement d’une entreprise engagée dans une démarche de RSE doit se faire de manière équilibrée dans ces trois domaines pour être tout à la fois responsable et durable

La ESG

L'analyse ESG est devenue une partie de plus en plus importante du processus d'investissement… Une motivation clé dans la pratique de la prise en compte des questions environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans le cadre de leur analyse financière